La rémunération, un élément secondaire

Chez CXG nous avons coutume de dire que nous ne présentons jamais de candidats qui ont pour principal vecteur de motivation la rémunération.

En effet c’est, pour nous, la pire chose à faire. Un candidat qui va chez notre client pour une augmentation de salaire représente l’assurance qu’il partira 2 ans plus tard pour une nouvelle augmentation.

Quand cela est dit, la rémunération représente néanmoins un levier psychologique. On part rarement pour gagner moins.

ET POURTANT !

Ce « rarement » évolue constamment car effectivement la rémunération devient au fil des années de plus en plus secondaire.

Il y a de cela une vingtaine d’année le recruteur par approche directe, que l’on appelait le chasseur de tête (cf. d’ailleurs notre page « notre métier » pour ceux qui ont quelques minutes devant eux pour mieux comprendre les différences sémantiques entre ces deux termes) était avant tout là pour intervenir en qualité de négociateur salarial une fois le profil complexe trouvé.

C’est désormais la rencontre entre des valeurs et la cohésion entre le projet d’entreprise et le désir de nouveau challenge du futur collaborateur qui fait la différence.

Les candidats aujourd’hui sont certes intéressés par un meilleur confort de vie (rapprochement professionnel, ambiance au travail, relations humaine et sociale…) mais surtout par le fait d’être partie prenante dans un projet qui les motive et les fait vibrer.

C’est donc sur ces axes que nous échangeons de manière plus poussée ; sur ce que le candidat peut apporter à notre client et ce que le projet de notre client peut lui apporter.

Se lever le matin sans boulet au pied et être la pièce centrale d’un nouvel enjeu représente aujourd’hui le vrai facteur de changement chez nos candidats.

Et ça, c’est loin d’être secondaire.

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Une entreprise, un collaborateur, une rencontre